1, 2, 3, c'était mieux à deux.

Ca se saura.
On s'aimera.
J'aime penser ça.
Je sens ton odeur au bout de mes doigts.
Violently happy. Bas résille et baisers de soie. Joyce Jonathan en fond. Je note tout dans mon carnet. (olol)
Je suis une psychopathe, je prendrais le revolver. Je te prendrais sur le divan. Je t'aime. Sans le penser. Sans le dire. En le faisant. Sans le feindre ni le mentir. Sans problemes. Sans hypocrisie. Je t'aime. C'est à dire, je t'apprécie. Tu es libre. Je suis libre d'aller vers qui je veux. Tu es libre d'être libre et de te vouloir libre. Mais tu es libre de t'attacher à moi encore si tu te sens au mieux. Et si je suis libre d'avoir d'autres amants, je suis libre aussi de choisir de n'avoir que toi.
Nous sommes libres de le crier sur tous les toits. De se faire la bise et de se tenir par le bras. Nous sommes libre de baiser partout. Nous sommes libres de n'être amoureux que de nous.

Nous sommes jeunes. Beaux.
Ma peine n'est pas réelle, tu t'en fais trop. Sans réels problèmes, je t'aime.

Poésie de pacotille, bras, branche, brindille.
I never felt so good. Si, il y a deux semaines, l'euphorie était la plus grande.
Il faut que tu m'aimes. Ton amour va me devenir indispensable. Il faut que tu me dises que je te rend fou, que tu perd tes moyens devant moi, que tu as tout le temps envie de moi, que tu veux m'avoir pour les vacances, bientot.
Que tu veux voir ma mère. Que tu aimes dire que tu m'émeus. Now, changement de feuille.