G.

Tu ne sais pas à quel point j'aimerais te prendre dans mes bras. Et regarder le contour des iris de tes yeux. Et me laisser embrasser encore et encore. Mais tu dors et tu bades. Et j'aimerais que tu sois vivant et qu'enfin tu vois ces chose qui ne se disent pas. Qui ne s'écrivent pas non plus d'ailleurs. Tu n'es pas fou tu es le plus humain des hommes. Je ne te fantasme pas, je te vois. Mon frere, mon âme. Reviens. Ces choses ne se disent pas à 6 heures du matin. Ni à 23h du matin non plus. Tu t'es tu. Je t'aime. Si tu me posais la question maintenant, à présent, si tu savais avec quelle lucidité, avec quelle sincérité je te répondrais que oui, parfaitement, et alors. J'écris sans fautes. C'est automatique. Je suis une habituée des azerty. C'est TranKil. Tout va bien. Cette soirée c'était du n'importe quoi. Ne t'en vas pas. reste.

J'en ai assez des putains qui se prennent pour des hommes. J'en ai assez des putains qui se prennent pour des beaux gosses parce qu'ils t'ont pécho. Je suis une enfant tu sais. De ceux qui dorment quatorze heures. J'écris meme comme tu parles. Je devrais t'épouser, mais non. En fait non. C'est une mauvaise idée. Oublie moi. Je n'ai rien à faire dans ta vie. Tu n'aurais pas du me toucher et me vouloir. Tu n'aurais pas du poser mon pied et laisser l'autre dire des choses aussi vulgaires. Je t'aime. Ca ne se dit pas, et ca ne s'écrit pas non plus, d'ailleurs.